L’Asie à Paris
L'association Tiandi organise, pour ses adhérents, un voyage à Paris
L'association Tiandi organise, pour ses adhérents, un voyage à Paris
Les ateliers de qi gong consacrés au feu font partie d’un cycle consacré aux mouvements du souffle.
Les résidents de l'EHPAD proposeront un petit spectacle à l'éventail et en échange les professeurs et les élèves de l'école Tiandi démontreront leur travail à l'éventail et au sabre du taijiquan.
L’art du taijiquan recèle en lui la dynamique de l’ancienne alchimie taoïste. Il nous donne les moyens de nous transformer intérieurement afin d’incarner l’esprit dans la matière. Au fil de la pratique, le taijiquan nous apparaitra comme un ensemble de techniques permettant de développer des qualités d’écoute, de présence, de disponibilité, de bienveillance.
Fondée en 1998, cette année nous célébrerons les 25 ans de l’association Tiandi.
Le séminaire d'été de qi gong de l'école Tiandi est consacré aux cinq mouvements du souffle, il repose sur l’étude de quatre qi gong : les cinq mouvements, les cinq animaux, les douze méridiens, les mouvements pour les organes.
En fonction des saisons, la nature suit une logique de cycle que l’on retrouve chaque année. Nous pouvons ainsi observer les étapes de germination, croissance, épanouissement, fanaison, enfouissement des graines dans la terre… Ces grandes étapes sont reliées également au principe des cinq mouvements du souffle de la médecine traditionnelle chinoise. Le souffle de chaque saison a un impact sur notre organisme à l’image de ce qui se passe dans notre environnement. Selon les saisons, notre rythme biologique se modifie. Il est donc important d’adopter de bonnes habitudes et de nous caler sur le rythme de la saison en cours.
Valeur est l'un des poèmes rassemblés dans Oeuvre sur l'eau, le premier livre de poésie d'Erri De Luca. Ici, comme l'auteur le confie dans une note liminaire, "à cinquante ans un homme se sent obligé de se détacher de la terre ferme pour s'en aller au large. Pour celui qui écrit des histoires au sec de la prose, l'aventure des vers est une pleine mer".
La méditation printanière est un moment agréable. Les oiseaux sont revenus et leurs nids fleurissent d'une nouvelle vie. Asseyez-vous tranquillement pendant un moment et « écoutez simplement » leurs chansons avec tout votre corps et votre esprit. Si l'esprit s'interroge, ramenez-le doucement. Restez présent. Soyez le printemps. Alors que nous nous perdons généralement dans les pensées incessantes que nous générons, et guidés par nos émotions, tout un monde plus grand que nous prospère éternellement.
« Je parlais à un Moine Zen l'autre jour et la question du cœur vide a été soulevée. C'est un concept clé dans le bouddhisme zen et c'est aussi un concept clé dans tous les arts martiaux d'Asie de l'Est et du Sud-Est que j'ai expérimentés. C'est rarement un sujet pour les débutants, mais il arrive un moment où cela devient primordial. Lorsque le physique a été exploré, entraîné et peut-être même poussé jusqu'à ses limites, c'est parti ; il faut développer le cœur vide. » — Nigel Sutton
Zhaobao taijiquan, pratiqué par M. Liu Jinquan au premier Hong Kong International Wushu Festival en 2003.
Les prémices du printemps à venir On y trouve la page 1280 du tome 3 du Littré la définition du terme « prémices » (du latin primitiae, de primus, premier), qui désigne les « premiers fruits de la terre ou du bétail » et, par extension, les commencements, comme dans ces vers extraits du Britannicus de Racine : « Toujours la tyrannie a d'heureuses prémices. / De Rome, pour un temps, Caïus fut les délices. »
Si vous vous entraînez à être tendu, vous allez être tendu. Si vous vous entraînez à être détendu, vous deviendrez plus détendu. La façon dont vous réagissez à chaque instant vous fera pencher davantage dans un sens ou dans l'autre. Mais le simple fait de se détendre peut être difficile à saisir.
Maître So Cho Kun nous rappelle que ’apprentissage traditionnel s’affirme encore aujourd’hui comme un compagnonnage, dont la transmission du savoir repose sur l’engagement de longue durée, l’esprit de recherche, Il faut donner de sa personne et de son temps.
Entre 1924 et 1926, Gandhi, qui souhaitait se désengager provisoirement de la vie politique et se consacrer davantage à la vie spirituelle, va vouer son temps à l'étude et à la présentation de la Bhagavad-Gîtâ. Il délivre ses lectures, ses commentaires et ses réflexions à son auditoire et aux disciples, chaque matin, après la prière collective dans son ashram. C'est dans la Bhagavad-Gîtâ que Gandhi puisera ses intuitions spirituelles et sa force d'action.
Victor Hugo exprime dans Les Contemplations le processus d’englobement du monde dans les mots. Le poète, considéré comme sujet lyrique, réfléchit en lui bonheur et misère, infini et mort, grandeur et cataclysme.
« Parfois, l'art a besoin de s'échapper de la réalité, et les montagnes et les rivières nous permettent de nous examiner à partir d'elles. » — Qiu Ting