Contenir la poitrine et tirer le dos
Le deuxième des dix principes essentiels du taijiquan rédigés par Chen Weiming sous la dictée de Yang Chengfu.
Le deuxième des dix principes essentiels du taijiquan rédigés par Chen Weiming sous la dictée de Yang Chengfu.
Extrait du discours prononcé par Jean Jaurès en 1903 devant des lycéens, dans lequel il invite la jeune génération à ne pas céder au fanatisme et à faire preuve de courage en cherchant et en diffusant la vérité.
Depuis une dizaine d’années, le nom sérendipité est entré dans l’usage en français. Il s’agit d’un emprunt de l’anglais serendipity, « don de faire par hasard des découvertes fructueuses », un mot créé par Horace Walpole et qu’il avait tiré d’un conte oriental, Les Trois Princes de Serendip (1754), Serendip ou Serendib étant une ancienne transcription anglaise de Sri Lanka, ce dernier étant lui-même composé du sanscrit Sri, « souveraineté, richesse, éclat », et Lanka, primitivement Langkâ, que l’on a rapproché du grec lagkanein, « obtenir par le sort ». Serendip est donc cette terre bénie des dieux où la fortune semble être offerte à chacun.
Mesurant dix mètres de long, les Poèmes sur la plantation de bambou se compose de quatorze poèmes et essais écrits en écriture standard, courante, cursive et sceau. Li Dongyang l’achève en 1516 pour son neveu par alliance Zhang Ruji. L’artiste et le destinataire aimaient beaucoup le bambou et les plantaient souvent ensemble.
L’association de peinture des sept amis a été oréée en 1955 par sept calligraphes et peintres, dont le grand maître aux cinq excellences Cheng Man Ching.
En 2010, un jeune maître du Fortune Blessing Studio à Pékin nommé Zhang Xiaodong a réalisé le premier livre relié à écailles de dragon depuis un millénaire.
La notoriété de cette technique a été amplifié grâce à Taipei. Taipei a utilisé cette technique de reliure pour son dossier de candidature pour la capitale mondiale du design .
Extrait de la Bhagavad Gîtâ ou l’art d’agir de Colette Poggi.
Texte phare de la pensée indienne depuis vingt-quatre siècles, à l’image de l’Odyssée d’Homère en Occident, la Bhagavad Gîtâ est également reconnue comme l’une des sources majeures de la philosophie du yoga. Comprendre la Bhagavad Gîtâ, c’est accorder nos actes, nos paroles et nos pensées au dharma, à l’Ordre cosmique. Elle nous concerne tous pour habiter la planète, apaiser nos relations, bien conduire notre vie, prendre soin d’autrui, réaliser notre vocation profonde, agir et s’accomplir car « ce que j’accomplis, m’accomplit » (Vimala Thakar).
Traduction de l’article Yielding de Radhasri. Il concerne le yoga mais il pourrait s’appliquer tout au tant au qi gong ou au tai-chi-chuan.
Le qi gong est une pratique quotidienne pour remédier à nos déséquilibres énergétiques résultant de fluctuations de notre inactivité ou de surmenage. Le souffle est reconstitué en tonifiant les essences et en cultivant l’esprit. En termes simples, cela signifie mouvoir le corps et calmer l’esprit pour favoriser ou restreindre le flux énergétique.
Le palais Qiluo Wenchang a été construit la 37e année de Wanli sous la dynastie Ming (1609), agrandi de la cinquième à la neuvième année de Qianlong sous la dynastie Qing (1740-1744) et reconstruit la première année de Xianfeng (1851). C’est un groupe d’éléments architecturaux construits en combinant les règles des temples confucéens et des temples taoïstes.
Ecrit directement en français en 1936, Le Jardin des rochers est le premier grand roman de Nikos Kazantzaki. Il y rend compte de sa découverte du Japon et de la Chine. Qu’il soit question d’architecture, de gastronomie, de spiritualité, de relations entre les femmes et les hommes ou encore de nature, tout est évoqué avec force détails et sensualité. Oscillant entre récit historique et récit de voyage, cet ouvrage est aussi une tentative d’autocritique du mode d’agir et de pensée occidental. Sans oublier la question de la recherche d’une liberté – liée pour Kazantzaki à une collaboration victorieuse avec toutes les forces de la vie – qui parcourra l’ensemble de son œuvre.
Depuis des temps immémoriaux, la Chine s’est intéressée au Grand récit de l’Univers. Dès les premières dynasties, des guetteurs du ciel relèvent le mouvement des corps célestes. La cosmologie devient science d’État et les souverains -les fils du Ciel- les garants de la mise en écho du Ciel et de l’empire. L’histoire de ces épousailles entre le Ciel et la Terre peut se déchiffrer à travers le prisme du jade.
À travers cette exposition de la Fondation Baur,, le public est invité à découvrir un exceptionnel ensemble de jades archaïques chinois issu de la collection de Sam et Myrna Myers.