Louange de l’ombre

Détail d'un coffret-écritoire, en laque du Japon urushi, début du XVIIIe siècle.

Rédigé en 1933 par Tanizaki Jun’ichirô, dans une langue scintillante d’élégance et d’ironie, ce classique nous parle non pas d’un monde disparu mais de celui que nous voudrions faire advenir : moins de clinquant, plus de beauté modeste et de frugalité.