- è mĂČ
- affectueusement
- è mĂ i
- vaisseau sanguin,veine, artĂšre, pulsation, pouls, nerf
- æ yuĂš
- Lune, mois, 74e radical
Les éšéŠ bĂčshÇu sont des radicaux. La table des 214 radi...
- æ°ž yÇng
- pour toujours, éternellement
A cĂŽtĂ© de æ, correspondant ici Ă è, la chair qui indique que la notion se comprend dans un corpsé« tÇ : corps, forme, santĂ© èș« shÄn : corps, corporel, ... de chair, se trouve le caractĂšre æ°ž: perpĂ©tuel, continuel.

L’Ă©tymologie traditionnelle y voit l’Ă©coulement perpĂ©tuel de æ°Žæ°Ž shuÇ : eau, liquide, 85e radical More l’eauæ°Ž shuÇ est la source de vie ; docile, elle se prĂȘte Ă t... More dans son rĂ©seau souterrain. Les graphies archaĂŻques montrent ć· l’extension de l’eau, un fleuve qui se dĂ©veloppe pour dĂ©rouler son cours majestueux et incessant et organiser son rĂ©seau d’affluents et de cours secondaires.
怫è
Suwen chapitre 17è mĂ i : veine, artĂšre, pouls, nerf Moreè ïŒèĄäčćșfÇ : prĂ©fecture, rĂ©sidence officielle, palais, siĂšge du ... Moreäč
Un caractĂšre plus ancien met èĄ, le sangLe sang, èĄ xuĂš, est gouvernĂ© par le cĆur, emmagasinĂ© p... More, Ă la place de æ, la chair, pour former le rĂ©seau par lequel le sang s’Ă©coule perpĂ©tuellement dans le corps Ă l’image de l’Ă©coulement organisĂ© de l’eau sur et dans la terreć tÇ, reprĂ©sente le support, le milieu fĂ©cond qui reço... More.
Le terme è est souvent employĂ©, en dehors des textes mĂ©dicaux, pour indiquer les circulations souterraines qui animent la terre, suscitant sa fertilitĂ©, faisant surgir les chaĂźnes de montagnes; ou encore ce qui circule en profondeur et se perpĂ©tue comme dans une lignĂ©e gĂ©nĂ©alogique.
- èæ°Łæ°Ł, æ° : gaz, air, souffle, exhalaison, fluide, influx, od... Moreæ”ç¶ç» jÄ«ng : livre canonique, classique, constant, rĂ©gulier,... More mĂ i qĂŹ liĂș jÄ«ng
- Les soufflesLes souffles,æ°Ł qĂŹ, animent les formes, qu'ils informent e... des mai s’Ă©coulent aux mĂ©ridiensChaque ç¶è jÄ«ng mĂ i est un rĂ©seau par lequel circulent...,
- ç¶æ°ŁæžæŒèș jÄ«ng qĂŹ guÄ« yĂș fĂši,
- les souffles des mĂ©ridiens se reportent au poumonLe poumon est dit ĂȘtre le premier ministre du cĆur. Etre l...,
- èșæçŸè fĂši chĂĄo bÇi mĂ i
- le poumon reçoit en audience les cent circulations vitales
Les è mĂ i apparaissent dans la prĂ©sentation des structur... More
- 茞çČŸjÄ«ng : finesse, essence, substance, vitalitĂ©, vigueur, raf... MoreæŒçźæŻ shĆ« jÄ«ng yĂș pĂ mĂĄo
- pour les rĂšgler.
Ce qui circule dans les mĂ i est beaucoup plus que la substance liquide, eau ou sang ; c’est la puissance invisible qui dĂ©veloppe la vie, lui permet de s’Ă©tendre et de durer. Les mĂ i, dĂ©positaires (ćș fÇ) du sang, sont ainsi aussi appelĂ©s le logis des espritsç„ shĂ©n sont les puissances cĂ©lestes qui permettent Ă ch... More (ç„ç„ shĂ©n : divinitĂ©, dieu, Dieu, esprit, expression, air, ... More shĂ©n).
La palpation ou prise des pouls permet ainsi de connaßtre la personne, dans son état présent, dans son histoire, dans sa nature fondamentale.
Permettant l’Ă©coulement du sang selon ses voies et dans ses conduits, les mĂ i gardent les essences et font partie des six Organes extraordinairesㄿäčćș qĂ hĂ©ng zhÄ« fÇ Daqain Zhang, dans le style ....
- ćżxÄ«n : cĆur, pensĂ©e, esprit, intention Moreèè xÄ«n cĂĄng mĂ i
- Le cĆur
ćż xÄ«n est un organe yÄ«n appartenant Ă lâĂ©lĂ©ment feu... More thĂ©saurise les circulations vitales
- èèç„ mĂ i shÄ shĂ©n
- qui sont le logis des esprits.
Le rĂ©seau de l’animation perceptible au pouls

è mĂ i se traduit soit par circulations vitales , soit par pouls. Il ne s’agit cependant pas de deux sens distincts, mais d’une mĂȘme signification Ă double face.
- Toutes les circulations du sang et des souffles dont le dĂ©ploiement est en dĂ©pendance du cĆur.
- La part du corps liĂ©e au cĆur.
- Les méridiens.
- Les pouls oĂč l’on jauge l’Ă©tat et les caractĂ©ristiques de cette circulation, ainsi que le rapport du sang et des souffles.
- L’une des six entrailles extraordinaires en tant que courant de souffles dont la puissance empĂȘche l’Ă©garement du sang. Les mĂ i sont le logis des esprits (ç„ shĂ©n), ainsi que l’entrepĂŽt, la rĂ©sidence (ćș fÇ) du sang.
- Stérilité par aménorrhée ou par menstrues perpétuellement irréguliÚres.
- Nervures de feuille
- Ce qui ressemble Ă une veine filon, veine, chaĂźne de montagne, lignĂ©e gĂ©nĂ©alogique, sĂ©rie d’arguments.
- Veine.
Les artĂšres et les veines modifient automatiquement leur calibre. Elles se contractent ou se dilatent sous l’influence des nerfs de leur tunique musculaireç jÄ«n : muscle , tendon, force musculaire, force physique....
Carrel in L’homme, cet inconnu
Un lacis de veines drues se tordait sur ses mains que n’agitait pas le tremblement habituel aux vieillards.
Theophile Gautier in Le Roman de Ia momie
Sous tant de noms divers, ce n’Ă©taient toujours que deux rues, mais les deux rues mĂšres, les deux rues gĂ©nĂ©ratrices, les deux artĂšres de Paris. Toutes les autres veines de la triple ville venaient y puiser ou s’y dĂ©gorger.
(Hugo in Notre-Dame de Paris
Points comportant cet idéogramme
En nom principal
- Vaisseau des convulsions
- Vaisseau ceintureVaisseau ceinture, 枊è dĂ i mĂ i, est le vingt sixiĂšme p...
- Vaisseau impétueux
- Vaisseau d’Ă©tirement