éçćș ChĂ©n WĂĄngtĂng
Chen Wangting originaire de la province de Henan, serait nĂ© en 1600 Ă Chenjiagou et mort en 1680. Commandant des forces des garnisons du comtĂ© de Wenxian sous la dynastie Ming, on lui attribue la fondationFondation de la civilisation chinoise dans la plaine central... More du style Chen de taiji quan. Le Livre de la famille Chen prĂ©cise ainsi qu’il
fut le premier Ă apporter la boxe, le sabre, et la lance dans sa famille
.

C’est aprĂšs la chute des Ming qu’il retourne dans son village pour enseigner l’art du combat Ă ses enfants. La composante technique de sa boxe s’inspire du « Nouveau traitĂ© sur l’efficacitĂ© militaire » (Jixiao Xinshu, çŽææ°æž) du gĂ©nĂ©ral Qi Jiguang (1528â1588) de la dynastie Ming, un classique de la littĂ©rature militaire chinoise.
Chen Wangtingéçćș ChĂ©n WĂĄngtĂng Chen Wangting originaire de ... More serait ainsi Ă l’origine de l’Ă©cole Chen de taiji quan. Selon la tradition, il aurait dĂ©veloppĂ© sept formes censĂ©es chacune entretenir une particularitĂ©. Elles comprenaient :
- l’enchaĂźnement du poing ample en 108 mouvements : äžçŸé¶ć «ćąé·æł YÄ«bÇi lĂng bÄ shĂŹ zhÇngquĂĄn ;
- l’enchaĂźnement du poing-canon : çźæ¶ pĂ o chuĂ ;
- et cinq autres enchaĂźnements.
Deux formes seulement subsisteront, que son descendant Chen Changxing regroupera sous la dĂ©signation de grande forme : ć€§æ¶ dĂ jiĂ . Il s’agit de :
- la premiĂšre forme qui comporte environ quatre-vingt mouvements : äžè·Ż yÄ« lĂč ;
- la seconde forme qui n’est autre que le poing-canon : äșè·Ż Ăšr lĂč.
Les cinq autres auraient irrémédiablement disparu pendant la dynastie Qing.