Dans sa beauté
Einstein écrivit cette lettre de condoléances, le 12 février 1950, à un père en deuil nommé Robert S. Marcus (alors directeur politique du Congrès juif mondial), dont le fils avait succombé à la poliomyélite quelques jours plus tôt.
Einstein écrivit cette lettre de condoléances, le 12 février 1950, à un père en deuil nommé Robert S. Marcus (alors directeur politique du Congrès juif mondial), dont le fils avait succombé à la poliomyélite quelques jours plus tôt.