Compendium d’Acupuncture et Moxibustion

Le é‡çžć€§æˆ zhēnjiǔ dĂ chĂ©ng qui a Ă©tĂ© compilĂ© par YĂĄng JĂŹzhƍu en 1601 dissipe les confusions entre les points et les mĂ©ridiens et essaie d’établir un consensus

é‡çžć€§æˆ zhēnjiǔ dĂ chĂ©ng

1601 – YĂĄng JĂŹzhƍu

Le Compendium d’Acupuncture et Moxibustion qui a Ă©tĂ© compilĂ© par 愊çčŒæŽČ YĂĄng JĂŹzhƍu en 1601 dissipe les confusions entre les points et les mĂ©ridiens et essaie d’établir un consensus. L’auteur lui-mĂȘme explique au dĂ©but de son Ɠuvre qu’il a Ă©tabli la synthĂšse d’une vingtaine d’ouvrages dont parmi les plus importants se trouvent bien sĂ»r les Questions simples (箠敏 sĂčwĂšn) du Classique interne de l’empereur Jaune, le Classique des difficultĂ©s (難經 nĂĄnjÄ«ng), mais aussi d’autres aussi importants comme le Classique illustrĂ© des points d’acupuncture de l’homme de bronze (銅äșșè…§ç©Žé‡çžćœ–ç¶“ tĂłng rĂ©n shĂčxuĂ© zhēnjiǔ tĂș jÄ«ng) publiĂ© par 王ç‚ș侀 WĂĄng WĂ©iyÄ« en 1027 ou les Prescriptions Valant Mille PiĂšces d’Or (ćƒé‡‘èŠæ–č QiānjÄ«n yĂ o fāng) Ă©crit par ć­™æ€é‚ˆ SĆ«n SÄ«miǎo (581-682) sous la dynastie Tang.

Illustration du Compendium d'Acupuncture et Moxibustion, édition de 1875
Illustration du Compendium d’Acupuncture et Moxibustion, Ă©dition de 1875
  • Le dĂ chĂ©ng dans son premier livre correspond au sĂčwĂšn et au  nĂĄnjÄ«ng
  • Les deuxiĂšme et troisiĂšme livres exposent les chants et poĂšmes d’acupuncture.
  • Le quatriĂšme traite de la manipulation de l’aiguille selon les diffĂ©rents classiques ou selon les diffĂ©rents maĂźtre.
  • Le cinquiĂšme parle de la rĂšgle minuit-midi et de l’utilisation des huit mĂ©ridiens curieux.
  • Les livres 6 et 7 s’intĂ©ressent aux mĂ©ridiens et aux points, tels que les points du zujueyin (Foie) et leurs indications. 
  • Le livre 8 correspond au traitement des diffĂ©rentes pathologies par acupuncture.
  • Le dixiĂšme livre traite essentiellement des nourrissons.

L’Ɠuvre de Yang Jizhou a Ă©tĂ© traduite en français sous la forme d’ouvrage en trois volumes. Le Dacheng a Ă©tĂ© aussi la principale rĂ©fĂ©rence pour SouliĂ© de Morant qui l’a traduit sans publication et s’en est servi pour introduire l’acupuncture en France dans les annĂ©es 1930.


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