Gerda Leenards
À la fin des années 1990, ses représentations atmosphériques de promontoires enveloppés de brouillard et de paysages doux, fantomatiques et enveloppés de nuages, ont valu à Leenards la réputation de dépeindre le paysage néo-zélandais sous un jour nouveau – une zone dans laquelle des zones de nature sauvage étranges sont rapprochées la représentation traditionnelle de la terre est remplacée par la vision de celui qui préfère la nature brute imprévisible et sans compromis.