Les flamants du lac Natron
Photographies, prises par Phillip Chang, capturées à partir d’un hélicoptère au-dessus du lac Natron en Tanzanie alors qu’un troupeau de flamants prenait son envol.
Photographies, prises par Phillip Chang, capturées à partir d’un hélicoptère au-dessus du lac Natron en Tanzanie alors qu’un troupeau de flamants prenait son envol.
Chaque trait d’un caractère, kanji ou sinogramme, s’écrit dans un ordre précis. Cet ordre est déterminé par la composition du caractère ; c’est-à-dire de quels traits il est formé et comment ces traits sont disposés.
Par exemple, il faut racer le trait oblique gauche avant le trait oblique droit qu’ils soient séparés comme dans 八 bā (huit), accolés comme dans 人 rén (humain) ou croisés comme pour 爻 yáo (entrelacer).
Tomás Sánchez est l’un des principaux artistes contemporains de Cuba, Tomás Sánchez est principalement connu pour ses paysages tropicaux luxuriants et intemporels.
Sa vision épique et hyperréaliste de la nature – devenue profondément spirituelle par la pratique de la méditation – s’apparente à une quête écologique : celle d’un paradis perdu.
Akeji Sumiyoshi est un calligraphe japonais, né à Uchino (Kyoto, Japon) en 1938 et mort en 2018.
Maître de sabre et de calligraphie, initié à la cérémonie du thé (chanoyu), Akeji Sumiyoshi et sa femme Asako vivaient dans un ermitage au nord de Kyoto, dans les montagnes de la vallée d’Himuro. Il a inspiré le cinéaste Hayao Miyazaki, en ayant notamment redécouvert et mis au jour le terme médiéval « Mono no ké » (« l’esprit des choses »), titre de sa première exposition à Tokyo en 19702.
L’an dernier, en ce même pays, j’ai souvent suivi Claude Monet à la recherche d’impressions. Ce n’était plus un peintre, en vérité, mais un chasseur. Il allait, suivi d’enfants qui portaient ses toiles, cinq ou six toiles représentant le même sujet à des heures diverses et avec des effets différents. — Guy de Maupassant
L’art de Je Shen déploie des atmosphères florales magiques, où la couleur et la tridimensionnalité guident les spectateurs à travers un vortex de visions et d’émotions.
Hiroshi Yoshida (1876-1950) était un peintre et graveur sur bois japonais du XXe siècle. Il est considéré comme l’un des plus grands artistes du style shin-hanga et se distingue particulièrement par ses excellentes estampes de paysages. Yoshida a beaucoup voyagé et était particulièrement connu pour ses images de sujets non japonais réalisés dans le style traditionnel japonais, notamment sa série sur l’Inde.
Le temple Xiyuan est connu pour ses chats. Comme en notre maison, ceux ci sont les bienvenus dans les monastères bouddhistes. Le plus célèbre d’entre eux est le 当当 dāng dāng, le grand roux qualifié de mandarine (大橘 dà jú).
Célèbre pour le raffinement extrême de son art de cour et son effervescence artistique, le Japon impérial de l’époque de Heian (794-1185) a notamment donné naissance à une œuvre majeure de la littérature classique japonaise, le Dit du Genji. Écrit au 11e siècle par une femme, la poétesse Murasaki Shikibu, et considéré comme le premier roman psychologique de l’Histoire, le Genji a généré depuis mille ans une iconographie extrêmement riche, influençant jusqu’aux mangaka contemporains. Il a ainsi inspiré de nombreux artistes et artisans du Japon à travers les siècles, parmi lesquels Itarô Yamaguchi (1901-2007), maître tisserand à Kyoto, dont quatre rouleaux tissés exceptionnels sont présentés pour la première fois dans leur intégralité.
Pour en éclairer la portée, le musée Guimet a réuni dans une fascinante exposition des objets aussi divers que des boîtes en laque finement décorées de scènes de l’histoire, des paravents peints à la main, de superbes estampes, un spectaculaire palanquin de la fin du XVIIIe siècle, des pages de mangas … Nous vous proposons quelques images de cette magnifique exposition que nous avons visité début janvier.
Depuis les années soixante-dix, Huang Yongyu a produit de nombreuses peintures à l’encre colorée avec des sujets allant des paysages, des fleurs, des personnages, des caricatures et des oiseaux, souvent accompagnés d’inscriptions contenant des allusions historiques et des messages ludiques.
« En ces heures où le paysage est une auréole de vie, j’ai élevé, mon amour, dans le silence de mon intranquillité, ce livre étrange… » qui alterne chronique du quotidien et méditation transcendante. Le livre de l’intranquillité est le journal que Pessoa a tenu pendant presque toute sa vie, en l’attribuant à un modeste employé de bureau de Lisbonne , Bernardo Soares.