Les théories du taijiquan

Le taijiquan nous aide Ă  dĂ©velopper notreÂ æ°ŁÂ qĂŹ indirectement : le travail principal passe par une focalisation sur le dĂ©veloppement de 拁 jĂŹn, la force intelligente ou  compĂ©tence. Lorsque nous parlons du ㊟〫 gƍng fu d’une personne, nous faisons rĂ©fĂ©rence en effet Ă  son jĂŹn, sa compĂ©tence martiale.

Calligraphie de la théorie du taiji quan de Wang Zongyue

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Tout mon enseignement est tissĂ© d’un seul fil.

– Confucius

æ°Ł 拁 意

Le taijiquan nous aide Ă  dĂ©velopper notre æ°Ł qĂŹ indirectement : le travail principal passe par une focalisation sur le dĂ©veloppement de 拁 jĂŹn, la force intelligente ou  compĂ©tence. Lorsque nous parlons du ㊟〫 gƍng fu d’une personne, nous faisons rĂ©fĂ©rence en effet Ă  son jĂŹn, sa compĂ©tence martiale.

Le jĂŹn est dĂ©veloppĂ© par l’attention consciente portĂ©e aux divers exercices de l’art : c’est Ă  dire, par l’application du 意 yĂŹ, l’intention ou la volontĂ©. On dit que le yĂŹ dirige le qĂŹ. Ainsi lorsque nous portons toute notre attention dans l’exĂ©cution de nos gestes, nous effectuons un exercice qui a pour effet d’accumuler et de faire circuler le qĂŹ. Mais ce n’est pas ça le but – le but est de dĂ©velopper le yĂŹ, et cela dans le contexte d’un art martial, Ă  but martial. Le rĂ©sultat de cet entraĂźnement interne est de pouvoir projeter toute sa force focalisĂ©e Ă  100% dans un seul mouvement.

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