Le fondateur de l’aïkido, Morihei Ueshiba, avait baptisé cette forme masakatsu bō-jutsu, parfois traduit par bō-jutsu de la vraie victoire ou de la justice. Comme en aïkido, le travail ne s’effectue pas en force, mais le but est au contraire de trouver un niveau de détente et de rigueur dans le placement qui permet d’exécuter le kata de manière à la fois efficace et souple.