En dansant joyeusement
Thich Nhat Hanh commente le passage du Soutra de la sagesse qui nous mène à l’autre rive : Tous les phénomènes portent l’empreinte du vide, leur nature véritable n’est ni la naissance ni la mort, ni l’être ni le non-être, ni la pureté ni l’impureté, ni la croissance ni la décroissance.