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L’estomac fait partie des organes creux, câest donc un organe yĂĄng, son complĂ©ment yÄ«n est la rateèŸ pĂ fait partie des organes pleins, elle est reliĂ©e Ă ..., et appartient comme cette derniĂšre Ă lâĂ©lĂ©ment terreć tÇ, reprĂ©sente le support, le milieu fĂ©cond qui reço... More.
Le mĂ©ridien correspondant est le mĂ©ridien de l’estomacè¶łéœæèç» zĂș yĂĄng mĂng wĂši jÄ«ng More.
Son ouverture supĂ©rieure s’ouvre sur lâĆsophage par le cardia, et son ouverture infĂ©rieure, sur l’intestin grĂȘleć°è xiÇo chĂĄng fait partie des organes creux, c'est don... par le pylore.
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L’estomacè wĂši fait partie des organes creux, câest donc un orga... More, qualifiĂ© Ă l’instar de la rate d’Officiel du grenier public, est responsable de la transformation des aliments. Par allusion Ă sa fonction digestive qui est de transformer les aliments solides ou liquides absorbĂ©s en souffle, en sangLe sang, èĄ xuĂš, est gouvernĂ© par le cĆur, emmagasinĂ© p... More et en liquides organiques, il est Ă©galement dĂ©signĂ© par les mĂ©taphores d’OcĂ©an des nourritures et des liquides ou, avec plus de prĂ©cisions, d’OcĂ©an des nourritures, des liquides, du souffle et de sang.
Correspondant Ă l’Ă©lĂ©ment terre, il forme un couple avec la rate, les deux viscĂšres Ă©tant connectĂ©s sur le mode surface~pro-fondeur par leurs mĂ©ridiensChaque ç¶è jÄ«ng mĂ i est un rĂ©seau par lequel circulent... respectifs.
Réception des aliments ingérés
La nourriture ingĂ©rĂ©e passe par la bouche et lâĆsophage, puis est reçue par l’estomac. DĂšs que l’estomac est atteint par une quelconque affection ou, simplement, dĂ©rangĂ©, son rĂŽle est perturbĂ© (ce qui se traduit principalement par une perte d’appĂ©tit, voire â si le trouble est prolongĂ© â par de l’anorexie).
Traitement mécanique et chimique des nourritures
Dans le premier stade de la digestion, l’estomac malaxe mĂ©caniquement les nourritures solides dĂ©jĂ mĂąchĂ©es et les liquides, que ses sĂ©crĂ©tions chimiques rĂ©duisent en chyme. Ces actions, qui nĂ©cessitent le concours de la rate, se terminent avec le passage du chyme dans l’intestin grĂȘle. Cette phase, Ă©galement rĂ©alisĂ©e par l’action conjointe de l’estomac et de la rate, achĂšve le processus transformant les nourritures ingĂ©rĂ©es en nutriments assimilables par l’organisme. Les aliments sont ainsi transformĂ©s en substancesPour la mĂ©decine traditionnelle chinoise, la base matĂ©riel... essentielles, Ă partir desquelles sont formĂ©s le souffle, le sang et les liquides organiques.
L’accomplissement de la fonction digestive n’est possible que par les efforts conjoint du yÄ«n et du yĂĄng de l’estomac. Quelles qu’en soient les causes, toute perturbation de cette fonction entraĂźne, avec de l’inappĂ©tence, des distensions et des sensations de ballonnement de l’abdomen et peut Ă©galement occasionner des rĂ©gurgitations acides et des nausĂ©es.
ContrĂŽle de la direction descendante des souffles et du sang
L’estomac commande l’orientation descendante des parcours et des mouvements du souffle, ce qui prĂ©serve la rĂ©gularitĂ© des fonctions physiologiques de l’organisme. Le chyme produit par l’estomac doit poursuivre sa descente vers l’intestin grĂȘle, oĂč il subit un complĂ©ment de traitement avant d’ĂȘtre diffusĂ© dans la totalitĂ© de l’organisme. Les organes associĂ©s au processus digestif, notamment l’estomac et les intestins, doivent tour Ă tour se remplir ou ĂȘtre remplis de matiĂšres alimentaires ou nutritives pour, dĂšs l’instant oĂč celles-ci ont Ă©tĂ©ć€ xiĂ se caractĂ©rise par un mouvement dâexpansion vers... More traitĂ©es, se vider ou ĂȘtre vidĂ©es des substances transformĂ©es, de maniĂšre Ă pouvoir recommencer le mĂȘme processus. Il s’agit d’une tĂąche sans fin, stimulĂ©e et contrĂŽlĂ©e par la libre circulation du flux du souffle qui, pour cette raison, ne doit pas ĂȘtre entravĂ©e. Tout obstacle venant contrarier le mĂ©canisme de remplissage et d’Ă©vacuation de ces organes affecte l’orientation descendante des mouvements du souffle, ce qui, dĂ©rĂ©glant la fonction digestive, entraĂźne des dĂ©sordres : rĂ©tention de nourriture dans l’estomac, mauvaise haleine, distensions, lourdeurs et douleurs abdominales, constipation, etc. Une remontĂ©e du souffle stomacal provoque des rots, des rĂ©gurgitations acides, de la nausĂ©e, des vomissements et des hoquets.
L’estomac, ocĂ©an de la nourriture et du liquide, rĂ©agit aux quantitĂ©s de nourritures solides et liquides ingĂ©rĂ©es, Ă leur nature et Ă leur texture, Ă leur tempĂ©rature et, aussi, aux circonstances de temps et de lieu dans les-quelles celles-ci ont Ă©tĂ© absorbĂ©es. De mĂȘme que l’une des fonctions les plus importantes du souffle de l’estomac est de dominer, c’est-Ă -dire maintenir, la direction descendante des transits de substances du souffle ou de sang, l’une des fonctions majeure de la rate est de dominer la direction ascendante ; ces fonctions de domination et de contrĂŽle des deux organes sont reliĂ©es au foieè gÄn est un organe plein. Interne et vital, mais ,actif ....
Sur le plan pathologique, toute insuffisance ou carence du souffle de l’estomac peut causer des discordances affectant les activitĂ©s fonctionnelles du souffle du rĂ©chauffeur moyen. La MTC considĂšre que la protection du souffle de l’estomac est essentielle Ă l’Ă©quilibre gĂ©nĂ©ral de l’organisme. La sauvegarde des fonctions physiologiques stomacales commande tout simplement la continuation de la vie, qui, privĂ©e de la stimulation constante du souffle de cet organe, ne serait plus possible. Ainsi, pour la MTC
- les fonctions stomacales de digestion des nourritures reçues et de transmission vers le bas sont Ă©troitement amalgamĂ©es aux fonctions splĂ©niques et Ă celles du rĂ©chauffeur moyen qui coopĂšrent au mĂȘme processus digestif. Un fonctionnement satisfaisant, Ă la fois individuel et solidaire de l’estomac et de la rate, est vĂ©rifiĂ© par le pouls glissant (æ» huĂĄ) ou en sthĂ©nie (毊 shĂ) â tous deux Ă©tant caractĂ©risĂ©s par un rythme rĂ©gulier, non heurtĂ© et puissant ;
- le souffle de l’estomac, regardĂ© comme l’un des fondements du corps
é« tÇ : corps, forme, santĂ© èș« shÄn : corps, corporel, ..., commande son Ă©tat gĂ©nĂ©ral : un souffle stomacal vigoureux transmet sa vigueur aux zĂ ng et, Ă l’inverse, son insuffisance et son dĂ©pĂ©rissement affaiblissent tout l’organisme pour, Ă la limite, mettre un terme Ă l’existence.
