Cerveau et silence
Nous en avions lâintuition, les neurosciences lâexpliquent dĂ©sormais : lorsque nous favorisons le silence acoustique, mais aussi attentionnel, visuel ou mĂ©ditatif, notre cerveau bascule dans un Ă©tat trĂšs particulier. Câest cette dĂ©connexion qui lâaide Ă se rĂ©gĂ©nĂ©rer, Ă Ă©vacuer les toxines conduisant aux maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives. Mieux : le silence sous toutes ses formes est bĂ©nĂ©fique pour la crĂ©ativitĂ©, la mĂ©morisation, voire la construction de notre « moi ».