太極者,無極而生。動靜之機,陰陽之母也。
Premier chapitre de la théorie du taiji quan : Le taiji, né de wuji, est le potentiel du mouvement ou de l’immobilité. Il est la mère du yin et du yang.
Premier chapitre de la théorie du taiji quan : Le taiji, né de wuji, est le potentiel du mouvement ou de l’immobilité. Il est la mère du yin et du yang.
C’est le plus célèbre de tous les traités du taiji quan. Universellement admiré pour son exhaustivité et sa précision, il décrit l’essence du taiji quan en utilisant le langage le plus concis et poétique possible. Son auteur serait Wang Zongyue.
Wang Zongyue est une personnalité des arts martiaux chinois qui aurait vécu au XVIIIe siècle, il est souvent considéré comme le fondateur du taiji quan. On lui attribue en effet la paternité du Traité du taiji quan, texte théorique sur cette boxe, sans que celle-ci ne soit parfaitement établie.
Les quatre grands livres extraordinaires circulent dès la fin des Ming en tant que chefs-d’œuvre représentatifs chacun d’un sous-genre : le roman historique avec Les Trois Royaumes, le roman de cape et d’épée avec Au bord de l’eau, le roman fantastique avec La Pérégrination vers l’Ouest, et le roman de mœurs avec Le Rêve dans le pavillon.
Illustration de la théorie du taijiquan de Wang Zongyue par le dessinateur Pan Shunq.
Le yì jīn jīng, très populaire en Chine, propose des exercices pour l’amélioration de la santé et de la longévité. Ces exercices sont réputés tirer leur origine des rituels chamaniques des sociétés premières, des méthodes de conduite mentale de l’énergie vitale (導引術, 导引术, dǎo yǐn shù) de la Chine ancienne. Ces exercices étaient pratiqués régulièrement dès le VIIe siècle AEC