鄭曼青宗師演練鄭子54式太極劍的
Zhèng Mànqīng zōngshī yǎnliàn zhèng zi 54 shì tàijí jiàn de.
氣沉丹田 qì chén dāntián est l’un des aphorisme les plus connu du taijiquan. Comme souvent avec les aphorismes du taijiquan, il importe de comprendre qu’il ne s’agit pas d’une injonction, ni d’une méthode, mais de l’énoncé d’un résultat. La méthode, elle, relève traditionnellement de l’enseignement oral.
Le travail de Yamamoto Keisuke est un mélange inhabituel et rare de technique magistrale, de curiosité philosophique et de gravité émotionnelle.
Le théâtre de nô, art traditionnel et sacré propre au Japon, demeure une énigme pour les Occidentaux malgré quelques traductions et représentations dont le mystère ne cesse de fasciner. Armen Godel nous fait vivre dans cet ouvrage sa rencontre avec un maître de nô qui le prend pour disciple. À sa suite, nous entrons dans les arcanes d’un art fabuleux où le légendaire se mêle à la magie, où le masque porte le sens de la destinée, où le verbe se confond avec le silence.
L’aspect lisse et policé des tableaux de Félix Vallotton, leur technique impeccable, leur style distancié, mettent au ralenti les tensions, violences et passions sous-jacentes.
Le chapitre 9 du treizième traité de maître Zheng Manqing sur le taijiquan aborde, 曰能發勁 yuē néng fā jìn, la compétence de fa jin.
起勢 起 qǐ augmenter, soulever, se lever, se dresser commencer, d’abord, initial. 势 shì puissance, influence, pouvoir, tendance, configuration, situation, apparence, geste, attitude posture Zheng Manqing rapporte des instructions orales de son professeur mettant l’accent sur le rôle de la synchronisation et de l’avantage (得機得勢 dé jī dé shì) dans l’émission d’énergie. 曰。要得機得勢曰。要由腳而腿而腰總須完整一氣 Il m’a dit … Lire la suite
« Nous sommes suspendus bien haut parmi des branches étrangement entrelacées, et nous sommes livrés à bien des vents. Ce que nous possédons, c’est notre maturité, notre douceur, notre beauté. » – Rainer maria Rilke
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Les pratiquants de taijiquan savent probablement qu’il est important de prêter attention à ce qu’ils pratiquent, mais ils peuvent ne pas se rendre compte qu’il est naturel et normal pour les humains d’atténuer ou de rejeter divers signaux que nous recevons. Comme nous ne sommes capables de traiter qu’une quantité assez limitée d’informations à la fois, nous supprimons nécessairement les informations qui semblent moins importantes.
A Taiwan, le vrai travail de production de thé est fait par les femmes. Les cueilleuses de thé sont élégamment vêtues de façon colorée avec des chapeaux à larges bords pour les protéger du soleil. Le début du printemps est le moment de la récolte à Taiwan, où le meilleur thé oolong du monde est cultivé.
Une notion qui caractérise le discours esthétique japonais est celle de la coupure. La coupure est un trope de base dans l’école Rinzai du bouddhisme zen, particulièrement mis en valeur dans les enseignements du maître zen Hakuin. Pour Hakuin, l’objectif de voir dans sa propre nature ne peut être réalisé que si l’on a coupé la racine de la vie.
« Et voici que l’enfant fait valser un fil, son fil, de nuage en nuage, se laissant guider par le vent du matin et la main du soleil. Il se pose sur le ponton, étale ses cailloux blancs, se saisit du premier, le lance et contemple, ébloui, l’ovale d’un poème sur le lac endormi. » – Jean Humenry