Kyūzō Mifune

Jigoro Kano et Kyuzo Mifune

三船久蔵 Mifune Kyūzō (1883 – 1965)

Kyūzō Mifune est considéré comme l’un des plus grands pratiquants de l’art du judo après son fondateur, Kano Jigoro. Il a 13 ans lorsqu’il commence le jùdô. Il rejoint le Kôdôkan en 1903. En 1912, il était déjà un rokudan (6e dan) et un instructeur du Kôdôkan. Il était incroyablement énergique et fini par parvenir à la tête des instructeurs du Kôdôkan. La vitesse avec laquelle il a maîtrisé les techniques du jùdô peut seulement être comparé à la rapidité de sa promotion. En recevant le 10e dan le 25 mai 1945, il devint le 2e plus jeune homme à obtenir le 10e dan, grade qu’il gardera pendant presque 20 ans c’est à dire plus longtemps de n’importe quel 10e dan. Il était humble et permanent du groupe consultatif de dôjo de Kôdôkan. Il est l’auteur du « Canon du Jùdô ». En 1964 le gouvernement Japonais lui a attribué l’honneur de l’ordre du soleil levant. Il fut la première personne à être honorer de cette manière pendant sa vie. Avant sa mort le 27 janvier 1965, il était le seul 10e Dan vivant dan dans le monde.

Dans l’esprit du Zen et du Budo

Portrait de Taisen Deshimaru

Le génie du Zen de transformer les techniques brutales de la guerre en arts qui ne se souciaient plus seulement de l’efficacité guerrière mais de la recherche de soi-même.

Combattre les mots

Sculpture représentant Lao Tseu partant vers l’ouest monté sur un buffle

L’historiographie des arts martiaux a été au centre des guerres culturelles en Chine et un sujet de discussion célèbre entre traditionalistes et modernistes depuis près d’un siècle. Cet article présente la provenance, le contenu, l’authenticité et la signification de quatre nouvelles découvertes de documents en Chine.

La culture martiale

Photographie avec Fong Sutton, Ming Thong Ong et Nigel Sutton

Zhong Ding, a en commun avec la majorité des associations d’arts martiaux traditionnels, d’être une famille. Nous partageons des valeurs communes, une culture commune et des pratiques connexes. Au cœur de ce partage il y a notre expérience  commune: l’entraînement. 
Un article de Nigel Sutton