人剛我柔謂之走,我順人背謂之粘
Troisième chapitre de la théorie du taiji quan : Si l’adversaire est dur, je suis doux: cela s’appelle céder, si je suis en position favorable et l’adversaire en position difficile : cela s’appelle adhérer.
Troisième chapitre de la théorie du taiji quan : Si l’adversaire est dur, je suis doux: cela s’appelle céder, si je suis en position favorable et l’adversaire en position difficile : cela s’appelle adhérer.
Deuxième chapitre de la théorie du taiji quan : Dans le mouvement, yin et yang ont tendance à se séparer, dans l’immobilité, yin et yang ont tendance à s’unir
Premier chapitre de la théorie du taiji quan : Le taiji, né de wuji, est le potentiel du mouvement ou de l’immobilité. Il est la mère du yin et du yang.
Pratiquer le qi gong ce n’est pas pratiquer des postures statiques et des mouvements dynamiques. C’est la conscience de l’esprit qui dirige le souffle du corps dans l’actualisation du taiji en tant qu’expressions variées du yin~yang.
Le poing, quán désigne aussi un style de boxe lorsqu’il est attaché au reste du nom d’un style. Certains différencient ceux qui pratiquent des applications martiales de ceux qui ne le font pas en disant qu’il n’y a pas de quán dans leur tàijí. Mais on peut voir plus loin que cela. Plutôt que de simplement signifier boxe, quán implique un art qui peut conduire une personne vers le développement personnel et éventuellement la croissance spirituelle grâce à l’étude de la boxe.
無際 wú jì fait référence à l’aspect non-manifesté du dao. Wuji est l’intemporalité indifférenciée qui, dans le diagramme taoïste traditionnel (太極圖說 tàijí túshuō) est représentée par un cercle vide. Dans la cosmologie taoïste, wuji fait référence à un état de non-distinction avant la différenciation en yin et yang qui donnent naissance aux dix mille choses, tous les phénomènes du monde manifesté, avec leurs diverses qualités et comportements.