動之則分, 靜之則閤
Deuxième chapitre de la théorie du taiji quan : Dans le mouvement, yin et yang ont tendance à se séparer, dans l’immobilité, yin et yang ont tendance à s’unir
Deuxième chapitre de la théorie du taiji quan : Dans le mouvement, yin et yang ont tendance à se séparer, dans l’immobilité, yin et yang ont tendance à s’unir
Premier chapitre de la théorie du taiji quan : Le taiji, né de wuji, est le potentiel du mouvement ou de l’immobilité. Il est la mère du yin et du yang.
Dans tout notre corps, nous voulons que le yin et le yang soient clairement différenciés, mais c’est encore mieux lorsque nous pouvons avoir le yang (dur) et le yin (doux) qui s’entraident comme cela se fait lorsque les énergies sont maintenues de manière cyclique. Nous cherchons à éliminer les retournements brusques lors du passage d’une expression d’énergie à l’autre. Nous voulons éviter la dualité « combat ou fuite » et maintenir le potentiel du yin et du yang en continu, tout en différenciant clairement le yin du yang.
L’eau a une énergie qui lui est propre et qui contrôle certaines zones et émotions de notre corps. Elle est donc associée à une saison, à une couleur ou à des organes et la comprendre et l’utiliser, c’est aussi une façon de réguler et d’équilibrer nos besoins.
La soupe aux poires et la soupe aux pieds de poulet, à la viande maigre et aux marrons sont deux soupes nourrissantes pour l’automne.