Le taijiquan comme traitement de la maladie de Parkinson

Pratiquantes de Sino taichi

Les dernières recherches montrent que l’entraînement au taijiquan est propice au traitement de la maladie de Parkinson et à la prévention de la maladie d’Alzheimer. Le professeur Shengdi Chen du département de neurologie de l’hôpital Ruijin de l’école de médecine de l’université Jiao Tong de Shanghai vient de publier des articles dans les revues médicales internationales faisant autorité, Translational Neurodegeneration and Alzheimer’s & Dementia, indiquant que l’entraînement à long terme du taijiquan peut améliorer efficacement le symptôme moteur chez les patients atteints de la maladie de Parkinson et retarder considérablement le déclin cognitif chez les patients atteints de troubles cognitifs légers.

Entre douleur et souffrance : approche anthropologique

Autoportrait de Goya avec le docteur arrieta. Photo de l'Institut d'art de Minneapolis

La douleur implique la souffrance. Il n’y a pas de peine physique qui n’entraîne un retentissement dans la relation de l’homme au monde. Même si elle touche seulement un fragment du corps, ne serait-ce qu’une dent cariée, elle ne se contente pas d’altérer la relation de l’homme à son corps, elle contamine la totalité du rapport au monde. La douleur fait toujours sens, elle est donc toujours souffrance.