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Il Xian Gu

äœ•ä»™ć§‘ HĂ© XiāngĆ«

HĂ© XiāngĆ«, une des huit immortels aurait vĂ©cu au temps de l’impĂ©ratrice æ­Šć‰‡ć€© Wǔ ZĂ©tiān des Tang Elle aurait eu Ă  sa naissance que six cheveux sur le crĂąne et elle en aurait jamais eut plus, en contradiction avec la plupart des reprĂ©sentations. Elle quitta assez jeune sa ville pour aller vivre dans les monts de Nacre oĂč un esprit lui parla en rĂȘve et lui donna le secret de l’immortalitĂ©.

Elle passa alors sa vie Ă  errer dans les montagnes en rapportant le soir Ă  sa mĂšre qui l’avait suivie, les fruits qu’elle ramassait. Elle mĂȘme se nourrissait de nacre et de rayons de lune. On raconte qu’elle se trouva un jour aux prises avec un dĂ©mon qui faillit la tuer mais l’alchimiste taoĂŻste ć‘‚æŽžèł“ Lǚ DĂČngbÄ«n la sauva de justesse. Entendant parler d’elle, l’impĂ©ratrice Wǔ lui ordonna de se rendre au palais mais  HĂ© XiāngĆ« disparut au cours du voyage et ne serait rĂ©apparue qu’en l’an 750 flottant sur des nuages colorĂ©s, prĂšs du temple de la magicienne taoĂŻste éș»ć§‘ MĂĄ GĆ«.

Elle est montĂ©e au ciel pour devenir une 仙 xiān, une immortelle, praticienne Ă©clairĂ©e du taoĂŻsme.

Cette peinture de Zhāng LĂč dĂ©peint une HĂ© XiāngĆ« Ă©thĂ©rĂ©e et dĂ©licate, montĂ©e sur une grue cĂ©leste, son immortalitĂ© Ă©tant Ă©tablie. HĂ© XiāngĆ« peut Ă©galement ĂȘtre reprĂ©sentĂ©e tenant une fleur de lotus, source de santĂ© mentale et physique, et un instrument de musique appelĂ© 笙 shēng, un orgue Ă  bouche chinois .

ćŒ”è·Ż Zhāng LĂč, aristocrate nĂ© dans une famille riche, fut Ă©duquĂ© avec des princes de la famille impĂ©riale. Il connu un grand succĂšs en tant que peintre professionnel mais vivait trĂšs simplement, presque comme un ermite. Il est rapidement passĂ© de la peinture acadĂ©mique Ă  d’autres modĂšles et maĂźtres, notamment 搳恉 WĂș Wěi (1459-1508)

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