雖變化萬端,而理唯一貫
Troisième chapitre de la théorie du taiji quan : Quoi qu’il y ait dix mille transformations, le principe est unique.
Troisième chapitre de la théorie du taiji quan : Quoi qu’il y ait dix mille transformations, le principe est unique.
Le taiji quan est un processus consistant à nourrir son caractère et à cultiver son esprit, pour finalement laisser les choses suivre leur cours pour que tout soit là, que rien ne manque.
Il existe actuellement de nombreuses théories sur la condition physique des fascias et les méthodes d’entraînement des fascias. On pense qu’un entraînement spécifique améliore l’élasticité fasciale essentielle à la résilience systémique. Un article influent sur l’entraînement des fascias par Schleip et Müller déclare que l’objectif de l’entraînement proposé, axé sur les fascias, est d’influencer le … Lire la suite
Le classique de la transformation des muscles et des tendons et le classique de la purification des moelles peuvent être considérés comme un travail (功夫 gōng fū) sur les fascias.
Maître So Cho Kun nous rappelle que ’apprentissage traditionnel s’affirme encore aujourd’hui comme un compagnonnage, dont la transmission du savoir repose sur l’engagement de longue durée, l’esprit de recherche, Il faut donner de sa personne et de son temps.
La douceur est une énigme. Incluse dans un double mouvement d’accueil et de don, elle apparaît à la lisière des passages que naissance et mort signent. Parce qu’elle a ses degrés d’intensité, parce qu’elle a une force symbolique et un pouvoir de transformation sur les êtres et les choses, elle est une puissance.
Cheminant trois fois vers un semblable aval, ce livre longe le fleuve musical qui descend des bruits du Monde vers le sens des langues et les performances des sciences ; une voie chantante comparable traverse les mouvements des foules ou les émotions du corps pour s’épanouir en paroles. Ainsi coule un flot sonore entre les puissances ou la force des choses et les appels échangés en signes codés ; ainsi chute, en cascade, la descente de l’énergie vers l’information, l’intervalle géant qui sépare le dur et le doux.
Pratiquer le qi gong ce n’est pas pratiquer des postures statiques et des mouvements dynamiques. C’est la conscience de l’esprit qui dirige le souffle du corps dans l’actualisation du taiji en tant qu’expressions variées du yin~yang.
Chaque jour fait partie d’un cycle en constante évolution et chaque étape peut être le début d’un nouveau voyage.
Il n’y a rien qui ne soit dans le dao.
En grec, le premier sens du nom féminin ψυχή, psuchè, est souffle, du verbe ψύχω, psuchô, faire passer un souffle sur. Il désigne le souffle de la vie, l’âme, il signifie aussi papillon.
Toutes les pratiques taoïstes : taijiquan, qi gong, méditation que nous pratiquons et enseignons portent en elles l’idée d’avancer progressivement et de ne pas s’arrêter, quels que soient les obstacles qui apparaissent sur notre chemin.