Le sniper, le président et la triade
Ce roman de Chang Kuo-Li, partant d’une intrigue politico-policière, mais écrit avec une lenteur gourmande, nous propose un regard pour le moins contrasté de Taïwan.
Ce roman de Chang Kuo-Li, partant d’une intrigue politico-policière, mais écrit avec une lenteur gourmande, nous propose un regard pour le moins contrasté de Taïwan.
Hermann Hesse (1877-1962) n’est pas seulement le célèbre auteur de Demian, Siddharta, du Loup des Steppes et d’autres chefs-d’œuvre encore de la littérature allemande. C’était aussi un immense lecteur, un bibliophile extraordinaire, qui vécut dans le commerce intime d’ouvrages rares ou bon marché issus de toutes les cultures, de toutes les époques.
Le toucher nous ancre dans la vie. Le tact fonde notre lien à l’autre. La main pense. Les gestes créatifs, ceux des artistes et des artisans ou ceux que nous produisons au quotidien, réveillent en nous la liberté de gestes qui ouvrent et pas simplement de gestes qui prennent et se servent. Ils permettent une meilleure compréhension de notre présence au monde et de notre manière de l’habiter.
Les propos d’Herbie Hancock sur le jazz trouvent un écho dans ma pratique du taiji quan : écoute, spontanéité, harmonie, …
Le rouge n’est pas seulement l’une des couleurs primaires, c’est aussi l’une des premières couleurs utilisées par les artistes depuis la préhistoire. Allant des teintes orange aux teintes de vin profondes, à travers l’histoire, la couleur rouge a eu une signification particulière pour les cultures du monde entier. La couleur chaude est le plus souvent associée à l’amour dans la culture occidentale et reste une couleur attrayante et vibrante qui attire immédiatement l’attention sur elle-même.
Pour Thich Nhat Hanh, maître zen mondialement célèbre, le stress de la vie moderne nous fait perdre le contact avec notre paix intérieure. La sérénité de l’instant nous apprend à faire un usage positif des situations quotidiennes qui nous mettent sous pression.
L’ouvrage de Kersauson évoque, au fil de l’eau, les sentiments et les plaisirs d’un homme qui a bien vécu mais qui s’émerveille encore et encore de la nature, de la mer et de la lumière.
C’est avec une rare limpidité que le chercheur et épistémologue Michel Bitbol s’essaye à nous explique le sens du tournant scientifique et philosophique que constitue la révolution quantique.
Entre 1924 et 1926, Gandhi, qui souhaitait se désengager provisoirement de la vie politique et se consacrer davantage à la vie spirituelle, va vouer son temps à l’étude et à la présentation de la Bhagavad-Gîtâ. Il délivre ses lectures, ses commentaires et ses réflexions à son auditoire et aux disciples, chaque matin, après la prière collective dans son ashram.
C’est dans la Bhagavad-Gîtâ que Gandhi puisera ses intuitions spirituelles et sa force d’action.
Victor Hugo exprime dans Les Contemplations le processus d’englobement du monde dans les mots. Le poète, considéré comme sujet lyrique, réfléchit en lui bonheur et misère, infini et mort, grandeur et cataclysme.
Les âmes sensibles ont besoin de repos, de pauses, de silence. De s’écouter, de se rencontrer, de ne pas se sentir seule dans leur diversité. Elles ont besoin de beauté, d’harmonie, d’échanges authentiques et profonds, d’essence pure, pour se ressourcer et continuer de donner de la lumière au monde.
« Vous voyez, vous n’êtes pas éduqué pour être seul. Vous arrive-t-il de vous promener seul(e) ? Il est très important de sortir seul, de s’asseoir sous un arbre – pas avec un livre, pas avec un compagnon, mais seul – et d’observer la chute d’une feuille, d’entendre le clapotis de l’eau, le chant des pêcheurs, de regarder le le vol d’un oiseau et de vos propres pensées alors qu’elles se poursuivent dans l’espace de votre esprit. Si vous êtes capable d’être seul et d’observer ces choses, alors vous découvrirez des richesses extraordinaires qu’aucun gouvernement ne peut taxer, qu’aucune agence humaine ne peut corrompre, et qui ne pourront jamais être détruites. » — Jiddu Krishnamurti