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Le dao a produit un ; un a produit deux ; deux a produit trois ; trois a produit tous les ĂȘtres.
éçäž dĂ o shÄng yÄ«
Le dao a produit un signifie que çĄæ„” wĂșjĂ a engendrĂ© ć€Șæ„” tĂ ijĂ.
äžçäș yÄ« shÄng Ăšr
Un a produit deux signifie que ć€Șæ„” tĂ ijĂ a engendrĂ© ć ©ć liÇngyĂ.
æ æçć€Șæ, ć€Șæçćè±Ą,ćè±Ąçć «ćŠ.
WĂșjĂ engendre tĂ ijĂ, tĂ ijĂ engendre liÇngyĂ , liÇngyĂ engendre sĂŹxiĂ ng, sĂŹxiĂ ng engendre bÄguĂ .
Laozi dit : Les dix mille choses sous le ciel naissent de l’existence, l’existence nait de la non-existence.
Cette non-existence est sans forme, sans apparence, sans couleur et sans son, sans odeur et sans goĂ»t, ni chaude ni froide, sans gauche ni droite, sans avant ni arriĂšre, sans intĂ©rieur ni extĂ©rieur, sans dĂ©but ni fin, sans bords ni limites, sans sentiments et sans pensĂ©es, sans bontĂ© et sans mal, vague et confuse, indistincte et profonde, sans signes de sa prĂ©sence, insondable, l’extrĂȘme du vide et du nĂ©ant, par consĂ©quent on l’appelle non-existence, çĄ wĂș.
WĂșjĂ, c’est la non-existence, çĄ wĂș ; tĂ ijĂ, c’est l’existence, æ yÇu. Laozi dit: L’existence naĂźt dans la non-existence, le yÇu et le wĂș s’engendrent mutuellement.
Les deux extrĂȘmes, ć ©ć liÇngyĂ, proviennent du phĂ©nomĂšne de sĂ©paration du é° yÄ«n et du éœ yĂĄng.