Wu Ta-yeh enseigne à Palo Alto
Traduction de The t’ai chi ch’uan of Tung Huling, un article de Wu Ta-yeh paru en février 1993 dans le magazine T’ai Chi. Cet article a été traduit par Michael Chan en 1999 dans ttopa.com.
Traduction de The t’ai chi ch’uan of Tung Huling, un article de Wu Ta-yeh paru en février 1993 dans le magazine T’ai Chi. Cet article a été traduit par Michael Chan en 1999 dans ttopa.com.
Le taiji quan Cheng Man Ching est-il une école à part entière. ? Un entretien de Nigel Sutton avec maître Koh Ah Tee.
D’où vient que les arts martiaux chinois, pratiques issues de traditions autrefois considérées comme désuètes et poussiéreuses sont aujourd’hui remis au goût du jour ?
Neigong et Waigong ou comment se réaliser par la pratique des arts martiaux chinois un texte d’Alexandre Legendre etBertrand During paru dans Corps 2016 n° 14.
La forme simple du vide est la pause musicale ou la brume en tant qu’interruption, suspension, dans la continuité visuelle ou sonore ; une forme plus subtile en est ce qui renvoie à un espace sans limites, à l’espace infini, comme la coda en musique ou le prolongement au-delà du cadre en peinture, l’échappée hors du contexte en poésie. L’inachevé provient de ce moment, de cet espace, indéfinis et révélant une pluralité de possibles ; sa supériorité naît de cette absence d’énoncé borné, limitatif, alors virtuellement riche, suggestive.
Maître So Cho Kun nous rappelle que ’apprentissage traditionnel s’affirme encore aujourd’hui comme un compagnonnage, dont la transmission du savoir repose sur l’engagement de longue durée, l’esprit de recherche, Il faut donner de sa personne et de son temps.
Produit et réalisé par le cinéaste et fondateur de Life Arts Media, Gennaro Ambrosino, Opening Dao est un court métrage documentaire sur le taoïsme et les arts martiaux, tourné en Chine en 2009. Des universitaires, des artistes martiaux de haut niveau et des moines expliquent les principes de la voie, un trésor de sagesse qui a survécu à des milliers d’années.
Entretien avec Ma Hailong, à Shanghai en 2016 : Se tenir droit comme un poteau et mains poussantes.
On doit prendre la douceur et la bonté comme fondation. Douceur cependant ne signifie pas négligence, rigueur ne signifie pas raideur. Le dur et le doux se soutiennent mutuellement, et sont ainsi effectifs et jamais interrompus. La raison pour laquelle cela ne peut être appelé ni dur ni doux est qu’il s’agit d’un tout indivisible et intégral.
Le 十三勢 shí sān shì contient les bases et les mouvements essentiels du taijiquan, agencés d’une façon très structurée. C’est l’outil pédagogique par excellence. Il convient le mieux aux débutants car, lorsqu’ils connaissent les treize puissances, l’apprentissage de la longue forme se fait tout naturellement.
Il ne sait pas que c’est une statue, il ne sait pas combien elle pèse, mais il a seulement vu qu’il y avait besoin d’une aide. Regarde le monde avec un cœur d’enfant, et la vie deviendra plus belle.
Le moine bouddhiste Qingyuan Xingsi (660-740) affirmait qu’avant d’étudier le bouddhisme sous la conduite d’un bon maître les montagnes sont des montagnes et les eaux sont des eaux. Que, parvenu à une certaine vision intérieure de la vérité, les montagnes ne sont plus des montagnes et les eaux ne sont plus des eaux. Mais qu’une fois atteint l’asile du repos, de nouveau les montagnes sont des montagnes et les eaux sont des eaux.
Illustration de la théorie du taijiquan de Wang Zongyue par le dessinateur Pan Shunq.