
Pourquoi le jazz ne fait plus partie de la scène pop ?
Les propos d’Herbie Hancock sur le jazz trouvent un écho dans ma pratique du taiji quan : écoute, spontanéité, harmonie, …
Les propos d’Herbie Hancock sur le jazz trouvent un écho dans ma pratique du taiji quan : écoute, spontanéité, harmonie, …
La forme simple du vide est la pause musicale ou la brume en tant qu’interruption, suspension, dans la continuité visuelle ou sonore ; une forme plus subtile en est ce qui renvoie à un espace sans limites, à l’espace infini, comme la coda en musique ou le prolongement au-delà du cadre en peinture, l’échappée hors du contexte en poésie. L’inachevé provient de ce moment, de cet espace, indéfinis et révélant une pluralité de possibles ; sa supériorité naît de cette absence d’énoncé borné, limitatif, alors virtuellement riche, suggestive.
Cheminant trois fois vers un semblable aval, ce livre longe le fleuve musical qui descend des bruits du Monde vers le sens des langues et les performances des sciences ; une voie chantante comparable traverse les mouvements des foules ou les émotions du corps pour s’épanouir en paroles. Ainsi coule un flot sonore entre les puissances ou la force des choses et les appels échangés en signes codés ; ainsi chute, en cascade, la descente de l’énergie vers l’information, l’intervalle géant qui sépare le dur et le doux.
Le dongxiao est fabriqué à partir d’une longue tige de bambou d’environ 1,2 pouce de diamètre. Tous les nœuds naturels doivent être retirés à l’intérieur pour créer un alésage légèrement conique ouvert aux deux extrémités. À l’extrémité supérieure, une encoche avec un bord tranchant y est découpée. Cinq trous pour les doigts, un trou pour le pouce et plusieurs trous d’aération sont percés dans le tube ; le placement du premier trou d’évent après le dernier trou pour les doigts détermine la longueur acoustique de la flûte.
L’Histoire de la poésie chinoise: de Florence Hu-Sterk déroule un fil d’Ariane dans le corpus monumental et encore peu connu de la poésie chinoise. Il tente d’offrir un panorama aussi complet que possible de cette poésie, des origines à la fin de la dynastie des Song (XIIIe). Durant cette période en effet, se développe une écriture poétique d’une richesse qui restera inégalée par la suite.
La musique du roi de Qin brisant la formation de bataille est une musique martiale de la dynastie Tang louant les grandes réalisations militaires de l’empereur Taizong.
西廂記 xīxiāng jì La chambre de l’aile ouest est interprétée ici au guqin par Feng Qiuhuang. L’Histoire du pavillon d’Occident est une pièce du dramaturge Wang Shifu, écrite aux environs de 1300. Elle appartient au genre zaju. En Chine, […]
Ce 磬 qìng a été, selon son inscription, réalisée en 1761. Il appartenait à l’origine à un ensemble de lithophones (磬 qìng) qui faisaient partie des efforts de l’empereur Qing pour rendre la musique rituelle plus appropriée et orthodoxe par rapport à dynasties antérieures.
Sur la plage, les oies se posent est une pièce célèbre pour guqin. Dans la tradition chinoise, les bancs de sable ou les plages et les oies sauvages sont des symboles de l’exil. D’autres suggèrent que la mélodie suggère le détachement des choses du monde, l’admiration pour les oies, des animaux nobles et libres.
Le concert « Nouveau Palais de la musique – Parcours des montagnes » fait de l’esprit des monts et eaux traditionnels chinois un vecteur musical de communication avec le monde, il emprunte subtilement les procédés de représentation de la montagne (山 shān) de la peinture traditionnelle chinoise de paysage, évoquant l’ensemble thématique de l’album à travers les éléments versant, cime, pic, vallée, colline, arrière-montagne.
La musique en Chine a toujours interféré avec l’ordre de l’univers, d’une part, et avec l’organisation de toute la civilisation chinoise depuis la nuit des temps, d’autre part. En effet, toute civilisation en Chine est basée sur la musique d’origine céleste exprimant l’harmonie universelle, et les rites d’origine terrestre exprimant l’ordre universel.